TARN VALLEY TRAIL : nos conseils pour lever les doutes, pour dominer son appréhension et sauter enfin le pas pour s'inscrire à ce 100 miles

 

A l’image de l’édition 1, vous êtes encore une petite cinquantaine à hésiter à vous inscrire et à retarder le «GO, je me lance».

L’appréhension est légitime, la réflexion tout autant pour dominer le doute fort compréhensible.

Alors quels sont les verrous à faire sauter pour rejoindre le peloton réuni dans ce cercle de privilégiés-ées.

 

> 1 : Vous ne vous sentez pas encore tout à fait prêt ▪ Il reste qu’en même 8 semaines pleines pour travailler votre endurance ultra longue distance. C’est largement suffisant pour faire du volume avec raison en greffant à minima 4 rando-trails longue distance et 1 compétition sur 50 à 60 km pour se rassurer (à allure entraînement)

> 2 : J’ai du mal à trouver un hébergement ▪ Nous l’avouons, c’est l’un des points noirs. Le plus sécu, c’est dormir à Mende ou Bagnols les Bains le vendredi soir et prendre la navette bus le samedi matin, mise à votre disposition (1h10 ou 55’ de trajet)

 

 

 

> 3 : Je n’ai pas encore trouvé une voiture pour me rendre sur site ▪ Faites marcher le réseau, utiliser les RS pour faire circuler votre demande, utiliser les plates formes dédiés au co-voiturage…Nous avons 70 départements représentés, c’est jouable en effectuant éventuellement une partie en train (accès TGV Nîmes – Montpellier)

> 4 : Je crains les BH

▪ L’an passé, c’était une crainte mais tout le monde est passé haut la main. Et nous avons légèrement assoupli celles-ci. Donc aucune inquiétude à avoir !

> 5 : Je n’ai pas de pacer

▪ Une seule solution, sympathiser en cours de chemin lors d’un ravitaillement ou à la base de vie avec un (ou une) participant-te Pour faire route commune. Sans raconter sa vie (ça peut saouler… !!) mais pour se sentir moins seul-e et rassuré-e

> 6 : Je redoute la nuit

▪ Cela rejoint le point 4. Mais on peut également décider de profiter de la base de nuit pour dormir, récupérer et repartir avant le lever du jour sans aucun risque avec les BH hyper souples sur la fin de course.

> 7 : Je n’ai pas d’assistance

▪ C’est juste un problème potentiel dans la gestion de votre tenue de course, si vous souhaitez vous alléger et/ou changer de tenue sur les 100 premiers km. A la base de vie, il est fortement recommandé de laisser un sac de rechange. Quant aux ravitos, pas de souci, c’est ultra complet !

> 8 : Avec 250 coureurs, je crains de me retrouver vite seul et longtemps ▪ On en revient au point 4 – 5 et 6. Les solutions existent en partageant avec les autres concurrents-tes ce grand voyage. Sans oublier qu’un tel nombre de participants-tes, c’est ce qui fait le charme de ce périple, une vraie communion avec la nature et les bénévoles lors des ravitos où vous serez parfaitement chouchoutés.

> 9 : La fin de course est plus difficile que le début ▪ Oui, parce que c’est la fin de course…une belle lapalissade !!! Mais parce que les difficultés s’enchaînent avec 3 belles descentes techniques, La Caxe, Liaucous et Paulhe. Donc du renfo musculaire en prépa, de la fraîcheur le jour J et de la sagesse de course sur les 80 premiers km sans oublier une alimentation course équilibrée.

> 10 : Je n'ai pas la possibilité de reconnaître le parcours ▪ Très franchement, ce n'est pas une obligation. Cela peut donner un but pour réaliser une longue rando-trail mais il n'y a rien d'obligatoire. La découverte n'en sera que plus belle.

 

Photo :  Photography Cyrille Quintard

 
Post Facebook le 27 février 2023


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